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20 juin 2018
Imitations, copies et faux

n L’Égypte n’a pas le monopole de cette utilisation de l’art. Les souverains mésopotamiens n’étaient pas en reste, entre imitation d’un document plus ancien ou narration d’un événement fictif.

n La question se pose aussi pour le domaine phénicien ou pour la civilisation d’Ougarit, oscillant parfois entre copie, imitation et falsification. Nous touchons là à la limite entre manipulation idéologique et falsification. Le faux en écriture, lui, est destiné à tromper. Le faux délibéré serait finalement, la seule œuvre qui se laisse facilement appréhender : destiné à tromper, il transforme la vérité. Encore faudrait-il distinguer l’intention de la tromperie n»

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